Ҩ IVANA PIETRSHKOV
mieux vaut-il vivre comme un monstre ou mourir en homme bien ?

NOM(S) ▲ Pietrshkov PRENOM(S) ▲ Ivana SURNOM(S) ▲ Vana ÂGE ▲ 23 ansDATE ET LIEU DE NAISSANCE ▲ treize septembre à Moscou STATUT CIVIL ▲ En couple ETUDES/METIER ▲ Étudiante en medecine et strip-teaseuse au Cavern Club. TRAITS DE CARACTERE ▲ Joueuse ♠ Attentionnée ♠ Généreuse ♠ Serviable ♠ Inattentive ♠ Délurée ♠ Empotée ♠ Joyeuse ♠ Rêveuse ♠ Indépendante ♠ Amoureuse ♠ Maladroite ♠ Franche ♠ Naturelle ♠ Persuasive ♠ Attachante ♠.

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“ just the way you are „

MANIES :

Ivana est une adepte du chocolat, elle ne peut pas passer un jour sans manger du chocolat. Pour garder la ligne, elle est obligée de faire un jogging tout les matins.

L’œil droit d’Ivana ne fonctionne pas bien. Elle est à moitié aveugle. C’est peut-être dû à un disfonctionnement ou encore à une bagarre quand elle était petite.

Ivana n’aime pas tout ce qui est vert, la salade, les bonbons verts, tout. C’est peut-être à cause de quelque chose de vert qui l’a traumatisé.

Elle n’aime pas les échecs, elle dit que c’est un jeu pour les geeks, que c’est un jeu trop intellectuel pour elle.

Ivana déteste les gens de très grande taille. Elle ne supporte pas les gens qui dépassent deux mètre, ils lui font peurs. Surement car son père faisait plus de deux mètre, et qu’il la frappait.

Ivana aime sa sœur plus que tout au monde, c’est son petit trésor, et rien ni personne ne pourra les séparer. Elles sont toujours fourré ensembles.

“ until the end „

PRÉNOM/PSEUDO ▲ Sam ÂGE ▲ dix-sept ans PRÉSENCE ▲ tout les jours mais pas forcement en RPant VOTRE AVIS SUR LE FORUM ▲ Eh bien je ne vais pas dire qu'il est moche hein CÉLÉBRITÉ ▲ Amber Heard GROUPE ▲ GRAPEFRUIT GREEN UNE DERNIERE CHOSE A DIRE ? ▲

“ RILEY & IVANA „

Nous étions tranquillement dans le jacuzzi des ses parents quand tout d’un coup, j’eu un envie me traversant l’esprit. J’avais envie de me marier avec l’homme que j’aime. Ça faisait déjà un an que nous étions ensembles, et je dois avouer que je suis dingue de ce type. « Chérie, cap ou pas cap de se marie ? » Ce cap ou pas cap commençait à prendre le contrôle de ma vie. J’en parlais tout le temps, c’était devenu ma vie. Je savais que ce n’était pas vraiment l’avis de Riley. Il n’aimait pas vraiment ce jeu parce que justement, je commençais à ne plus pensais qu’à ça. Je savais que je devais arrêter pour pouvoir garder mon couple intacte, mais j’avais besoin de ce jeu pour pouvoir garder les pieds sur terre. Il me regarda avec des yeux ronds, comme si j’étais folle. « Ivana, tu rigole ou quoi, le mariage, ce n’est pas un jeu ! » Il avait en quelque sorte raison, mais je ne voulais pas me marier avec lui pour le jeu, mais pour l’amour que j’éprouvais pour lui. Je l’aimais de tout mon cœur et je voulais qu’il le sache aussi. « Mais ce n’est pas un jeu pour moi, je t’aime et je veux rester à tes côté jusqu’à la fin de ma vie, s’il te plait » C’était la seule chose que je pouvais lui dire pour qu’il comprenne que je l’aimais vraiment, et que ce n’étais pas un jeu. Il n’avait pas l’air du même avis que ma conscience. Je voulais devenir madame Stone. J’avais l’impression qu’il ne voulait pas se marier avec moi. Ça me vexait un peu. « Non Ivana, je ne suis pas prêt pour un mariage, on peut pas attendre un peu ? » Moi, je ne voulais pas attendre, je voulais lui prouver mon amour dans une magnifique robe blanche. Mais je savais que si je tenais à mon couple, je devais respecter son choix. J’acceptais donc, mais en lui disant que ce sera quand il voudra, quand il sera prêt. « Si tu veux, mais sache que je t’aime, et quand tu seras prêt, je le serais aussi. »

“ ROKSANA & IVANA „

Moi et ma sœur, nous sommes comme les deux doigts de la main, on se partage tout enfin presque, je suis tellement empotée qu’elle ne me prête pas souvent des choses. « Aller Roksana, laisse moi t’emprunter ta robe, elle est magnifique, s’il te plait. » Elle s’habille vraiment comme une princesse. C’est la seule personne que je connaisse qui y arrive, même avec peu de moyen. Quand nous étions jeunes, ma sœur et moi habitions sur notre lieu de naissance, à Moscou. Nos parents noue battaient alors quand j’avais dix-huit ans, j’ai décidé de m’enfuir. Je ne pouvais pas laisser ma petite sœur se faire battre alors je l’ai emmené avec moi. Quand nous sommes arrivées ici, à Liverpool, c’est mon petit ami, qui ne l’était pas à l’époque, qui nous a recueillis. Nous avons ensuite eu des problèmes financiers, mais nous avons toujours réussis à nous débrouiller. C’est ce qui fait notre force, nous n’abandonnons jamais. « Non Ivana, c’est ma robe préférée tu va l’abimer, vu comme tu es douée ! » C’était vexant. Véridique, mais vexant. Roksana a le don pour vexer les gens facilement. Elle ne s’en rend pas compte. Elle tient beaucoup à ses affaires. « Oh beh c’est sympa merci. S’il te plait, je te jure que j’y ferais attention comme à la prunelle de mes yeux. » Je dis toujours ça et à la fin, je bousille ses affaires. Elle devrait le savoir maintenant. Je suis la seule à pouvoir la faire changer d’avis. « Roo, d’accords ! Heureusement pour toi que l’on fasse la même taille. » Je suis allée à ma soirée. Comme prévus, j’avais bousillé sa robe. Je ne savais pas comment le lui dire alors j’ai laissé un mot sur sa robe. Il y avait marqué : je suis désolé. J’étais en train de dormir quand elle franchit ma porte telle une furie. « IVANAAAAAAAAAAA, qu’es-ce que tu as fais avec ma robe ?! » J’étais à moitié réveillée, je n’avais qu’une envie, c’était de me rendormir et de recommencer mon super rêve. Je savais qu’elle allait me réveiller brutalement, mais pas à ce point là. J’essayais de coller les mots les uns à la suite des autres. « Je … je suis désolé, ils ont fais une bataille de nourriture, j’ai bien essayé de m’enfuir, mais je n’ai pas réussis à temps. Je te promets de t’en acheter une autre. » Je mentais et elle le savait pertinemment. Je parti en direction de la salle de bain pour voir ma tête. Elle me suivit bien entendu en espérant une autre réponse. Je la regardais et on a éclaté de rire en même temps. Avec un ton amusant, elle m’excusa. « Je te rappel que tu es sensée être la plus grande donc, la plus responsable. »

“ ROKSANA & IVANA „

Avec ma sœur, nous nous sommes toujours lancé des défis tous plus loufoques les uns que les autres. Quand nous étions petites, c’était la seule chose qui arrivait à nous remonter le morale. En grandissant, nous avons gardé cette tradition. Nous étions chez une amie, quand elle me relança un défi idiot. « Ivana, cap ou pas cap de sauter dans la piscine toute habillée ? » Elle savait très bien que j’en étais capable. En dix-huit ans, je n’ai jamais refusé un défi. Avec ma sœur, nous avons une règle. Nous nous lançons que des défis où nous savons que nous ne craignons rien. Celui-ci, c’était sur que je ne risquais rien, à part peut-être de perdre une amie, c’est tout. « Bien sur, tu me prend pour qui ? » Je suis sautée dans la piscine toute habillé. J’ai fais quelque largeur et je suis retournée auprès ma sœur. Quand mon amie est sortie pour nous proposer à boire, elle écarquilla les yeux. Quand elle nous vit éclater de rire, elle comprit tout de suite que c’était encore notre jeu, stupide certes, mais très amusant. Nous étions cote à cote, on regardait Elisa sans un mot. Sans me regardais elle me posa une question qui me donna envie de la jeter dans la piscine à son tour. « Elle était bonne ? » En vérité, elle était très froide vu qu’on était en hiver, mais je ne voulais pas lui faire ce plaisir. Je lui mentais, et elle ne s’en rendit même pas compte. « Plutôt oui ! » J’étais trempé, l’eau dégoulinait de mes cheveux. Je la pris dans mes bras, m’approcha de la piscine et la balança dedans. Elle cria. Quand elle sortit, elle se remit dans la même position qu’avant, elle était heureuse, et ça se voyais. « Tu m'a mentis ! »

“ ROKSANA & IVANA „

Aujourd’hui, on a décidé de faire un truc tellement idiot que ça en est dangereux si on se fait prendre. Il fallait espérer qu’on ne se fasse pas prendre. On cherchait de idée pour ce cap ou pas cap quand soudain, Rok en eu une. « Cap ou pas cap de rentrer dans la piscine municipale cette nuit ? » Je ne savais pas quoi dire, je ne voulais pas que ma petite sœur ai des ennuies. Mais ça pouvait être bien marrant. « D’accords, si on le fait toute les deux ! » En disant ça, je savais que je prenais des risques, mais je voulais quand même tenter. Je savais qu’elle allait accepter, elle est tellement prévisible. « C’est d’accords. » Quand la nuit tomba, comme prévu, nous sommes partis en direction de la piscine municipale. Il y avait de grande barrière quasiment infranchissable. Nous pouvions le fait. Comme on dit, l’union fait la force, c’est notre devise. Nous étions déjà mortes de rire. Nous savions pourtant que si nous ne voulions pas nous faire prendre, il fallait être discrètes. Mais nous, on ne connaît pas ce mot. « CHUUUTT, faut pas qu’on nous entende » On riait de plus en plus fort, mais ça n’avait pas l’air d’inquiéter qui que ce soit dans la ville. Après plusieurs essaie pour passer de l’autre côté de la barrière, nous arrivions à la même conclusion. «On va jamais arriver à franchir les barrières » Après cette phrase j’entendis un gros bruit. J’en ai conclu qu’elle avait réussis. Maintenant, il fallait que moi je passe de l’autre côté. Et ça, ce n’était pas gagné. J’ai pris mon élan. Je ne voyais plus rien et quand je recouvris les yeux je vis Roksana affolée. Toujours avec humour, je la rassurée. « Ah beh si, on a réussis ! » Je me relevais et Roksana me posa une question qui n’avait pas de sens à mon gout. « On va se baigner ? » Si on est dans une piscine, c’est pour faire quoi à ton avis ? « Oh que oui, tu viens on saute »Peu après avoir sauté, je me rendis compte que nous avions fait un bruit fou en plongeant. Rok ne s’en était pas rendu compte de toute évidence. « Oh mon dieu qu’elle est bonne. » J’étais tout à fait d’accords avec elle sur ce point. Nous faisions quelque longueur quand soudain, nous avons entendu une sirène de voiture de police. Sans attendre, j’ai dis à Rok de sortir et de partir. « Oh merde, Roksana, vite vite vite, sors de l’eau, on se casse ! » On a réussis à échapper aux policiers. Notre première escapade dangereuse à bien été marante je dois bien l’avouer.