Sujet: Sixteen Charlie Wilson ~ On ne sais plus qui et qui, mais saurez vous qui je suis ? [ Terminé ] Ven 2 Sep - 0:54
Ҩ Sixteen Charlie Wilson " Les folies sont les seules choses que l'on ne regretteras jamais. "
NOM(S) ▲ Wilson PRENOM(S) ▲ Sixteen Charlie SURNOM(S) ▲ Six' ÂGE ▲ 20 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▲ Née le premier avril, mille neuf centre quatre vingt onze à Sao Paulo, Brésil STATUT CIVIL ▲ Célibataire ETUDES/METIER ▲ La politique en relations étrangères TRAITS DE CARACTERE ▲ Rêveuse, impulsive, attentionnée, gentille, aimante, trop sur de soie, naïve, amoureuse.
▲ Si tu étais une qualité ? L'impulsivité ▲ Si tu étais un défaut ? La rêverie ▲ Si tu étais un parfum ? Amor amor de Cacharel ▲ Si tu étais un plat ? Poulet au Colombo ▲ Si tu étais un animal ? Tigresse des sables ▲ Si tu étais un métier ? Premier Ministre ▲ Si tu étais un acteur ? James Franco ▲ Si tu étais une action ? S'amuser ▲ Si tu étais une phobie ? Peur des crabes ▲ Si tu étais une manie ? Tripoter les bracelets présent à ses poignets
“ we all have a story to tell „
Spoiler:
31 mars 1991,
Cher Journal,
*- Je m’appelle Eloisa Wilson, et je suis enceinte de mon quatrième enfant mais cette fois ci c’est la fin. Mon cancer c’est généraliser donc il y a de très grand risques, que une fois que je t’aurais donné naissance Sixteen, moi je terminerais ma vie. Oui, Sixteen Charlie Wilson que l’on va t’appeler ton père et moi. Harry Wilson soit ton papa et moi-même avons déjà trois enfant mais trois garçons, tu es la seule fille que l’on aura et même pas je pourrais en profiter enfin bon c’est la vie. C’est pour toi aujourd’hui que je commence ce journal intime, pour t’expliquer ta naissance et te dire que je t’aime malgrès que je ne sois plus là. En espérant que tu continueras ce que j’ai commencé pour mettre tous tes petits secrets, tes doutes, tes angoisses. Cela sera comme notre moyen de communiquer entre l’au-delà et le monde terrien.
[i]Eloisa arrêta doucement sa plume, car elle ressentit sa première contraction, mais étant habitué à ceci elle ne s’inquiétait pas et repris son récit. Après tout elle n’en était pas à sa première grossesse c’est juste le travail qui commençais.
*- Ah… Ma chérie, je viens de ressentir la première contraction, il est vingt-deux heures et le travail à commencer. Bientôt je verrais ta petite frimousse, pour très peu de temps mais je la verrais. Je te laisse, je vais aller me coucher pour me reposer un peu afin de pouvoir te mettre au monde dans les meilleures conditions.
Elle referma doucement le petit carnet, en couverture de cuir rouge. Eloisa le regarda un long moment puis souris, se leva et alla se mettre dans les draps de satin blanc. La femme s’endormit très rapidement mais fut réveiller vers deux heures et demie du matin. Les contractions c’était accéléré elle était à présent de deux contractions toutes les dix minutes.
- HARRY !
Eloisa cria le prénom de son mari, en se levant péniblement. Ce dernier accouru.
- Oui ? - Je crois qu’il faut y aller.
Eloisa souria et se dirigea vers la porte d’entrée. Le plus grand des trois Garreth avait quinze ans, c’est donc lui qui garderais ses deux frères jumeaux Bastian et Maël qui sont âgé de seulement 4 ans. La femme pris le temps de leur embrasser la joue chacun à tour de rôle, puis elle leur parla d’une voix toujours calme pendant que leur père allait mettre la valise de sa femme dans le coffre de la voiture.
- Garreth, prend soin de tes deux frères ton pères reviendra demain matin et vous emmènera à la maternité pour voir la petite sœur. Mon cœur, maman ta expliqué ou elle ira après l’accouchement donc tu diras à tes frères et sœur que maman est devenue un ange qui veille sur vous pour toujours. N’oubliez pas que je vous aime mes amours.
Elle les serra si fort que cela accentua les contractions, Eloisa le savait c’était la fin et cela était inévitable. Après leurs étreintes de feu, elle partit se mettre dans la voiture là où son mari l’attendait. Lui aussi avait la mine blafarde car il savait que jamais il ne reverrait la femme de sa vie.
- Mon amour, je veux que tu prennes ce petit carnet et que tu notes tout le déroulement de l’accouchement et puis que tu le garde très soigneusement et que le jour des 16 ans de Sixteen tu lui donne, et tu lui dises que j’aimerais tellement qu’elle lui poursuive pour moi.
Elle glissa alors le petit carnet en cuir rouge sur les genoux de son mari qui conduisit puis lui déposa un baiser sur la joue. Pourquoi avait-il pris sa valise alors qu’il n’en aurait pas besoin, vu que sa femme ne serait plus là mais il fallait que pour cet accouchement tout soit comme si cela était un accouchement banal comme les trois autres. Ils arrivèrent à l’hôpital de Sao Paulo vers trois heures du matin. La femme se dirigeait vers l’entrée lentement, une fois à l’intérieur des médecins la prirent rapidement en charge. Alors qu’elle était dans la salle de travail, lui son mari se tenait près d’elle, un stylo plume dans la main droite et le petit carnet en cuir rouge dans l’autre main, il s’apprêtait à noter tout l’accouchement comme le voulait sa femme, les médecins ne comprirent pas pourquoi faisait-il sa mais il ne tarderait pas à la comprendre.
*- C’est papa ma chérie. Comme tu l’auras compris nous somme dans la salle de travail et tu es prêt à naitre. Une vie va bientôt commençais et une autre va se terminais. Maman n’as toujours pas perdu les eaux alors qu’il est six heures du matin et que nous somme comme même là depuis trois heures du matin. Maman perd beaucoup de forces, les médecins se sont rendu compte qu’elle avait un cancer et que si tu ne pointe pas le bout de ton nez à dix heures ils devront faire une césarienne à ce moment-là car cette dernière ne pourra pas tenir plus longtemps. Son était se dégrade, sous mes yeux et je me sens impuissant. Je sais que je ne devrais pas écrire tout ceci mais c’est le souhait de ta mère, ce petit journal ne t’appartiendra qu’à tes seize ans, je respecterais tout ce que maman voudra. Attend… Il est maintenant neuf heures du matin et maman vient de perdre les eaux, elle n’a pas voulu de péridurale pour te sentir venir. C’est bon, elle s’est mise à pousser, encore quelques petites pousser et le médecin dit que nous verrons ta tête. Nous t’attendons avec grande impatience Sixteen. Il est neuf heures et demie et ta mère a mis une demi-heure à te sortir la tête, les forces lui quittant peu à peu cela devint difficile pour elle de pousser. Ton corps arrive qu’est-ce que tu es belle, voilà il est maintenant dix heures et tu es née et dans les bras de maman qui est encore vivante nous attendons ton premier cri.
A ce moment-là, Sixteen poussa son premier cri et en même temps à la même heure, même minute et même secondes, dix heures et cinquante-huit seconde Eloisa poussa son dernier souffle. Madame Wilson était bel et bien décédé. Les médecin prirent Sixteen et allèrent la nettoyer. Monsieur Wilson quant à lui pleura l’arrivée de sa fille mais surtout la mort de sa femme. Il écrivit encore que quelques phrases sur le petit carnet rouge avant de le refermer pour seize ans.
*- Dix heures et cinquante-huit seconde, le premier avril mille neuf cent quatre-vingt-onze, alors que tu poussas ton premier cri, ta maman adorée poussa son dernier souffle.
Nous sommes maintenant deux mois après la naissance de Sixteen, le premier juillet mille neuf cent quatre-vingt-onze, alors que cette journée paraissait merveilleuse, le soleil était au rendez-vous enfin tout paraissait parfait mais chez les Wilsons c’était une journée noir, pourtant la petite Sixteen fêtez ses deux mois mais faisait aussi deux mois que Eloisa était parti au ciel. Harry s’habilla de noir ainsi que tous ses enfants sauf la petite Sixteen qui fut habillé d’un pyjama blanc. Pour tout vous dire c’était aussi ce jour-là que Madame Wilson se faisait enterrer. La cérémonie se passa normalement sans accros, la vie continuait pour le reste du foyer. Sixteen poussait comme un pied de tomate. Elle avait maintenant trois ans et rentrait à l’école. Ses frères et son père s’occupait si bien d’elle. Garreth maintenant âgé de dix-huit ans lui avait expliqué que leur maman était un ange qui veillait sur eux, la petite aimait beaucoup les anges car elle pensait que tous les anges étaient sa maman. La petite eut une enfance merveilleuse même si le jour de son anniversaire, n’était pas toujours très gai pour son père mais celui-ci se refusait à gâcher les anniversaires de sa princesse car sa femme n’aurait jamais voulu ça. La demoiselle grandissait et devenais si jolie que rentrer au collège les garçons se mirent à lui tournait autour mais ses frères faisait bien attention à ses fréquentations et ne se faisait pas prier pour les jouer les gros bras. La jolie jeune fille était assez douée à l’école. Lors de son entrée en seconde, la jeune fille décida de faire en plus de la danse qui était sa passion depuis douze ans de faire du volley ball. Sixteen était d’un naturel très sportif, le sport lui permettait de se défouler. L’année se passa très bien la jeune fille avait toujours des notes excellentes, l’année suivant était l’année de ses seize ans. Son père ne lui avait jamais parlé de ce fameux petit carnet en cuir rouge, mais elle apprendrait sa présence d’ici peu. Le début d’année passa et nous arrivons au premier avril, le jour de l’anniversaire des seize ans de Sixteen, cela faisait aussi seize ans que leur mères les avait quittée, les laissant seul avec leur père. Sixteen qui était aussi extrêmement fêtarde décida d’organiser une grande fête et d’inviter tous ses amis. Son père accepta à une seule condition, que les frères de la jeune femme chaperonnent cette soirée, ce que Sixteen ne put refuser sinon pas de fête. La soirée se déroula à merveille mais d’un seul coup son père arrêta la musique, Sixteen se retourna et le regarda.
- Que fais-tu papa ? - Ecoute ma chérie, je dois t’offrir un cadeau - Oui, et bien nous verrons sa demain ! - C’est un cadeau de ta maman.
Le visage de la jeune femme se figea ainsi que celui de tous ses amis, il savait tous ce qui était arrivait à la mère de Sixteen. Sixteen ne dit mot et son père alla chercher le petit carnet en cuir rouge puis le ramena. Il lui tendit, et lui embrassa le front. La jeune femme l’ouvrit et y lit ce que sa mère avait inscrit seize ans plutôt puis ce que son père avait inscrit. Des larmes roulèrent sur les joues de la jolie demoiselle, ses frères vinrent la consoler.
- Merci papa, c’est le plus cadeau que tu pouvais me faire, je comprends donc tout maintenant.
Son père embrassa son front et elle lui embrassa sa joue. Puis elle tourna ses yeux vers le haut, pour s’adresser à sa mère.
- Je te promets maman de tout te raconter. Je t’aime !
Elle pleurait dans les bras de Maël dès à présent quand son père remit la musique. La fin de soirée ce passa à merveille. Sixteen écrivait tous les jours ce qu’elle ressentait dans son journal, tantôt elle était nostalgique, tantôt joyeuse, tantôt triste. Une année de plus s’affichait à son compteur cette fois ci c’était la terminale et qui dit terminale dit l’année du bac, Sixteen ne stressait pas du tout. C’est aussi cette année-là qu’elle décida d’arrêter le volley ball. Toute l’année la jeune femme avait été studieuse, les sorties avait était réduite et aucun petit ami ne viendrait déranger tout ceci. C’est donc bien entendu qu’elle est eue son bac avec la mention bien. C’est aussi en fin d’année qu’elle prit la décision d’arrêter la danse. Pour le moment, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle voulait faire. La jeune femme était devenue vraiment très belle, d’une gentillesse et d’une générosité incomparable. Mais aussi très sociable et très tolérante. Elle était presque la petite fille parfaite, seul hic la jeune fille était comme on pourrait l’appeler une « coureuse de pantalons ». Ce comportement déplaisait totalement à son père et ses trois frères mais la jeune femme s’enfichait complétement. Il y a quelques, quand le père de la jeune femme fut assassiné par une bande de trafiquant de drogue, ces derniers couraient les rues de Sao Paulo. Un certain trente juin alors que son père allait faire ses courses, il fut effroyablement tué par des trafiquants de drogue. La jeune femme fut abattue par la mort de son père. Elle n’en pouvait plus de cette vie au Brésil, n’ayant plus de parent elle chercha du boulot dans les Etats-Unis puis en Angleterre, elle trouva un travail dans un fast food et un petit appartement. Elle partit de chez elle le deux juillet deux mille dix et n’oublia pas de le marquer dans son journal intime. La jeune femme n’avais pas la force d’aller aux funérailles de son père, peu importe si il lui en voudrait mais elle devait s’en aller pour recommencer sa vie à zéro dans une ville où personne ne connaissait ni elle, ni son passer. La jeune femme arriva donc à Liverpool et commença se travail dans ce fast-food. A la télévision elle entendit les informations qui chaque jour détruisait le Brésil à cause de ces trafiquants de drogue. C’est donc pendant les grandes vacances deux milles dix que la jeune femme avait trouvé un sens à sa vie, elle s’inscrirait dans la section politique en relation étrangère à Liverpool Université. Une fois son dossier terminé et acceptait la jeune femme était tellement heureuse qu’elle ne put s’empêcher d’en parler à sa mère.
*- Maman, tu vas être déçue de moi car je n’ai pas été aux funérailles de papa mais je sais comment le venger et redorer l’image du Brésil. Je vais devenir politicienne en relation étrangère, j’ai enfin trouvé un sens à ma vie.
Sixteen découvrira bien vite que tout n’est pas rose. Il y a ombre au tableau répondant au doux prénom d’Eden. Ils se connaissaient depuis toujours, leurs pères étant de grands amis, au moins lorsqu'ils étaient jeunes. Ils ont fait pas mal de bêtises ensemble, et étaient les meilleurs amis du monde. Puis leurs pères se sont disputés et ils ont perdu tout contact. Ils se sont retrouvés à leur quinze ans dans le même lycée, plus âgés, timides de se redécouvrir alors qu'ils se connaissaient par cœur. Petit à petit, certaines habitudes, certains automatismes ont repris leur cours, et ils sont redevenus très amis. Trop amis. Sixteen a fini par éprouver des sentiments contradictoires à son égard, le considérant comme son frère, mais jalouse de le voir avec d'autres filles, plus encore lorsqu'il s'est agi de sa meilleure amie. Pourtant c'était elle-même qui les avait réunis, voulant ainsi se persuader que ce n'était que de l'amitié. Un véritable échec, elle n'a jamais été aussi jalouse qu'à ce moment-là. Et puis comme dans un rêve, le couple s'est séparé, et peut-être pour oublier cette histoire, Eden l'a embrassée, sous le porche de la maison de la jeune femme vers une heure du matin un soir de noël. Ce qui les poussa à se remettre en question, eux et leur amitié. Quelques mois plus tard, ils sortaient ensemble, pour un "test", comme ils le disaient. Un test qui dure 3 ans. Ils emménagèrent ensemble et envisagèrent un futur pour eux. Fiançailles. Puis Mariage. Puis enfants. Un chemin tout tracé qui s'interrompit brusquement par un sms. Eden l'a quittée par un sms, prenant soudain peur de voir leur couple dans cette direction si déterminée. Il ne pouvait pas se douter qu'elle ferait trois tentatives de suicide à la suite de cette rupture. Malgré cela, il n'a jamais repris contact avec elle, tout en regrettant malgré tout d'avoir perdu la femme de sa vie. Aujourd’hui ils se retrouvent tous deux à Liverpool mais comment va réagir Eden quand il va savoir les trois tentatives de suicides échoués de la jeune femme. Et comment Sixteen va pouvoir reconquérir son âme sœur ?
“ until the end „
PRÉNOM/PSEUDO ▲ Anonymouth ÂGE ▲ 15 ans PRÉSENCE ▲ 7/7 j VOTRE AVIS SUR LE FORUM ▲ J'aime trop le graphisme et je trouve que Liverpool sa change des Etats-Unis CÉLÉBRITÉ ▲ Léa Michele GROUPE ▲ Apple Blue UNE DERNIERE CHOSE A DIRE ? ▲ On va s'éclater !
Dernière édition par Sixteen C. Wilson le Sam 10 Sep - 9:38, édité 1 fois
IVANA ღ Commence chaque journée comme si elle avait été écrite pour toi.
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Sujet: Re: Sixteen Charlie Wilson ~ On ne sais plus qui et qui, mais saurez vous qui je suis ? [ Terminé ] Ven 2 Sep - 8:30
MICHELE Bienvenue et si tu as une question, n'hésite pas
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Sujet: Re: Sixteen Charlie Wilson ~ On ne sais plus qui et qui, mais saurez vous qui je suis ? [ Terminé ] Ven 2 Sep - 8:53
Tout est en ordre, je te valide Amuse toi bien sur le forum
ce qui est bien c'est que j'ai fais un double post mais que personne ne le sais
Genre Gracie la garce sadique, ça sonne bien ?!
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Sujet: Re: Sixteen Charlie Wilson ~ On ne sais plus qui et qui, mais saurez vous qui je suis ? [ Terminé ] Ven 2 Sep - 9:03
Mon amouuur Bon tu sais déjà ce que je pense de ton pseudo hein
J'espère que tu te plairas ici et merci pour ton inscription Sinon j'allais oublier, BIENVENUE
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“Sixteen C. Wilson”
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